Parution – Boom and Bust in Bronze Age Britain. The Great Orme copper mine and European trade

Parution :

Boom and Bust in Bronze Age Britain. The Great Orme copper mine and European trade

par Alain Williams

Résumé :

La mine de cuivre de Great Orme, sur la côte du nord du Pays de Galles, est l’une des plus grandes mines de l’âge du Bronze qui subsistent en Europe. de l’âge de bronze en Europe. Mais où est passé tout ce cuivre ? Jusqu’à présent, cette question est restée un peu mystérieuse. On a souvent pensé que la mine ne produisait qu’un type de cuivre à faible taux d’impureté, peu courant à l’âge du Bronze britannique.

Ces affirmations ont marginalisé cette mine, en la considérant comme une source de cuivre sans importance, dont les vastes travaux ont été expliqués comme étant le résultat d’un simple travail d’extraction, résultat d’un travail à petite échelle sur près de mille ans. Cependant, les résultats de cette nouvelle recherche interdisciplinaire, qui combine les connaissances archéologiques et géologiques avec les méthodes d’analyse scientifiques les plus récentes, ont radicalement changé la donne.

Ces nouvelles données révèlent l’existence d’une mine de cuivre d’importance européenne, qui a dominé l’approvisionnement en cuivre de la Grande-Bretagne pendant deux siècles (1600-1400 av. J.-C.). J.-C., une partie du métal atteignant l’Europe continentale, de la Bretagne à la Baltique. Cette période d’apogée de la production à grande échelle On pense que cette période d’apogée de la production à grande échelle a nécessité une communauté minière à plein temps, peut-être soutenue ou contrôlée par la région plus riche sur le plan agricole. Cette période d’apogée de la production à grande échelle aurait nécessité une communauté minière à plein temps, peut-être soutenue ou contrôlée par la région du nord-est du Pays de Galles, plus riche sur le plan agricole et dotée de liens stratégiques avec des réseaux de communication plus larges. Dans l’ensemble, ces nouvelles preuves suggèrent que la Grande-Bretagne était beaucoup plus intégrée dans les réseaux de commerce et d’échange européens qu’on ne le soupçonnait auparavant.

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